Rentrée culturelle hiver 2019
Notre sélection à ne pas manquer // Théâtre - Danse - Opéra

La saison culturelle d’hiver 2019 promet! Nous connaissons déjà la programmation des différents lieux de diffusion et avons commencé à dresser notre liste des représentations à ne pas manquer! Le calendrier sera fort chargé et on aime ça! Parmi ce qui s’offre à nous, et pour vous guider dans vos choix, voici notre sélection de six spectacles, pour la fin du mois de janvier et le début de février.
Noir
Au Théâtre de Quat’sous
DU 22 JANVIER AU 9 FÉVRIER

Les amateurs de polar et de cinéma noir seront interpellés par cette pièce du metteur en scène Jérémie Niel, coécrite avec Evelyne de la Chenelière, Christian Bégin et Justin Laramée. Appuyé par la conception sonore de Sylvain Bellemare – gagnant de l’Oscar du meilleur montage sonore, pour Arrival de Denis Villeneuve, en 2018 – on emmène le spectateur à vivre une expérience sensorielle, à l’intersection improbable du burlesque et de la mélancolie.
« Quelque part au Québec, 1926. Au fond d’une forêt, trois êtres humains sont perdus, captifs : ils sont manifestement encombrés par un cadavre. Le spectateur, témoin important de l’histoire qui se trame devant ses yeux, assistera à cette intrigue mystérieuse, déroutante. »
Noir, une comédie fataliste métaphysique faisant place à la noirceur du silence.
THÉÂTRE
1 h 15
ColoniséEs
Au Centre du Théâtre d'Aujourd'hui
DU 22 JANVIER AU 16 FÉVRIER

Dans une mise en scène de René Richard Cyr, et comptant sur des interprètes tels que Macha Limonchik et Benoit McGinnis, la pièce d’Annick Lefebvre fait renaître le duo Pauline Julien et Gérald Godin, pour nous raconter le Québec des cinquante dernières années.
« Pauline Julien, Gérald Godin, une révolution (tranquille), un mois d’octobre (historique) et des promesses (avortées). ColoniséEs, c’est l’histoire qui se parle à elle-même, l’incarnation de nos préoccupations d’hier, d’aujourd’hui et de demain. C’est aussi la parole d’un Québec actuel, inquiet, hésitant mais résilient. »
Le CTD’A dit d’Annick Lefebvre que son style est inimitable et sans concessions, que son théâtre relève le défi d’être aussi intime que collectif, dénonciateur que rédempteur. Sur les mots de René Richard Cyr « C’est à un spectacle d’hiver que nous vous convions parce que, comme l’écrit Annick, c’est la seule saison qui nous donne à voir que nous marchons dans les traces de géant-e-s et de colonisé-e-s, et c’est cette reconnaissance que ce spectacle célèbre. »
THÉÂTRE
1 h 45

The Great Tamer
À l’Usine C